Mon blogue est mon journal. Il me sert aussi à ça, me plaindre, chiâler, écrire ce que je ne peux dire à personne. Je chiâle, je me sens mieux et je continue.
L'objet de mon chiâlage cette fois? Les parents de Petit-fils. Ils ont plein de belles qualités mais là, je n'en parlerai pas. Voici ce qui me fâche:
Leurs chicanes continuelles. Leur refus commun d'aller chercher de l'aide en médiation (ce qui serait gratuit vu qu'ils ont un enfant) ou ailleurs. Leurs téléphones quotidiens, leur textage continuel, le plus souvent pour se dire ou s'écrire des bêtises.
Ma fille a des vacances obligées de deux semaines. Jamais d'aucune façon elle n'a songé à y inclure son fils. Le petit a été retiré de la garderie par le père sans consulter la mère vendredi dernier. Chicanes, cris, larmes, menaces.
Moi, on m'avait dit qu'il commencerait ses vacances vendredi qui s'en vient, Petit-fils chéri et j'avais offert avec joie et plaisir de le prendre à partir de lundi. Je suis niaiseuse un peu parce que je pensais que ses parents seraient heureux de passer un peu de temps avec lui avant qu'il commence l'école. Pas le cas.
J'ai offert à ma fille que nous allions dans une base de plein air à mes frais. Refusé. Ça ne serait pas de vraies vacances pour elle car elle devrait s'occuper de Quatre ans.
Alors, tout est flou et tout est tout croche. J'apprends qu'elle est partie en vacances dans un chalet et ne sera donc pas au soccer de son fils lundi soir. Je lui souhaite bonnes vacances, bon repos, elle en a besoin et je vais quand même voir jouer Petit-fils. Il n'est pas là. Il n'est pas là? Je pense alors que le père a trouvé ça trop de trouble de l'emmener, tout simplement. Il faisait la même chose pour la garderie. Ne travaille pas, ne se lève pas, alors bien trop de trouble d'emmener l'enfant de bonne heure à la garderie. Il le gardait à la maison et prétextait la fièvre. C'est fou comme ce petit a la fièvre chez son père et n'est jamais malade chez sa mère ou chez moi!
J'appelle le père rappelle car il ne répond pas. Je me doute bien de la réponse mais cette fois, je veux vérifier.
-Allo
-Bonjour Père de Petit-fils. C'est la grand-mère de Petit-fils. Comme je suis allée au soccer et qu'il n'était pas là, je m'inquiétais.
-Il a la fièvre.
-Plate ça. C'est grave? Il est au lit?
-Non, ça va pas mal mieux là. Je lui ai donné du tempra.
-Bon, c'est bien. Merci. Bonne soirée.
Pareil à lui-même. Ma fille me texte enragée, le père vient de lui crier un paquet de bêtises. J'aurais pas dû l'appeler. "Mais tu es en vacances. Reste loin de tout ça. Décroche."
"Ouais, facile à dire, il arrête pas de me texter. Dis donc, tu devais aller chercher Quatre ans la semaine prochaine, tu pourrais pas appeler Le Père pour lui dire que tu le prends tout de suite?"
"Ah bon! Je peux l'appeler maintenant? Je vais voir. Ça n'était pas prévu. Qui a la carte d'assurance-maladie?"
"C'est moi".
"Pratique ça."
Alors, la mère est au loin, je n'ai jamais su où. L'enfant est avec le père mais le père serait ravi d'en être débarrassé. Ils l'ont retiré hâtivement de la garderie, qui assurait stabilité et encadrement, et n'ont pas l'air organisés pour s'en occuper. La maternelle quatre ans , c'est dans plus d'un mois.
Je suis en maudit? Je suis en maudit. Je me calme parce que c'est pas bon pour le coeur.
J'ai un passeport pour le Festival juste pour Rire et il finit dimanche soir le festival. Je ne suis pas toute seule là-dedans, j'y vais avec une amie. On voit un spectacle chaque soir.
Je me faisais une grande joie de prendre des vacances avec Petit-fils la semaine prochaine et je suis organisée à partir de la semaine prochaine.
Je pense que je vais me réorganiser et aller le chercher le petit demain. Fuck les spectacles. Mon amie ira avec quelqu'un d'autre.
23 commentaires:
Pauvre enfant une chance qu'il a sa grand-mère. Ça dérange les plans, mais ils sont tellement attachants nos petits.
Ce n'est pas un pauvre enfant.
Il a les parents qu'il a et ils ne sont pas si pires en fait.
Il est aimé, se développe bien ce qui veut dire qu'il compose favorablement avec la situation.
Ils ne l'élèvent pas comme moi je l'élèverais mais ça ne veut pas dire que moi je l'ai l'affaire.
Les parents qui "se sacrifient" pour leur enfant ne sont pas nécessairement de meilleurs enfants.
Pour moi, des vacances avec les enfants était une source de joie. Pour ses parents, non, c'est pas des vacances. Je dois respecter les différences.
Ce n'est pas nécessairement moi qui ai raison.
Le soccer, c'était mon idée à moi. Je l'ai proposée et ils étaient tous les deux d'accord. Ma fille se grouille, elle mais il faut dire qu'elle a mon auto. Les déplacements sont donc plus faciles. Le père a un autobus à prendre 10 minutes. Mais il ne prend jamais les transports en commun. Coudons. C'est ça qui est ça. Si j'avais offert de venir le chercher en voiture bien possible que ça aurait marché.
Pauvre Solange! Si on dit que petit fils est un pauvre enfant, je réagis immédiatement en lionne. Il n'a pas besoin de pitié, ça, j'en suis certaine. Vous devriez le voir. Tout le temps de bonne humeur, cet enfant-là (avec moi, paraît qu'il faut de terribles colères à ses parents), enthousiaste, toujours prêt à partir. Il n'est pas blasé cet enfant-là.
On est pris avec le père de petit-fils pour le reste de sa vie. Aussi bien l'aimer, l'aider et lui trouver des qualités. Il aime son enfant et y tient énormément. Même qu'il s'accroche beaucoup ces temps-ci parce que ma fille voudrait l'avoir toute la semaine pour l'école et lui l'aurait fins de semaines et journées pédagogiques. Ma fille est plus stable, travaille donc se lève tous les matins, le petit a un horaire chez elle et elle tient beaucoup à ce qu'il réussisse à l'école, voilà les raisons de ce désir de changer les jours de garde. Le père proteste et s'oppose tellement qu'elle dit qu'elle va lui laisser la garde. Je ne sais pas trop quoi faire là-dedans. Ils ne veulent pas aller en médiation. C'est pas vraiment de mes affaires non plus. Rien de plus fatigant qu'une mère et belle-mère qui se mêle de tout.
Oups, je voulais dire dans mon premier commentaire
"Les parents qui se sacrifient pour leur enfant ne sont pas nécessairement de meilleurs parents."
Mais peut-être que oui finalement!
Et peut-être que Petit-fils est un "pauvre enfant" et que je ne veux juste pas l'admettre!
Suis-je troublée par tout ceci?
OUI!
Ah? Vous trouviez que ça paraît? ;o)
Vais-je m'en sortir?
Évidemment!
Comment?
Pas encore de réponse mais ça s'en vient.
Évidemment, je veux votre opinion même si je risque de vous ramasser comme je viens de le faire pour Solange, eheh! Allez, n'ayez pas peur...
Votre chialage est tout à fait légitime, même que j'aimerais donc parfois avoir cette liberté de pouvoir le faire...;-)
En fait, je crois que Petit-fils doit être tout souriant et heureux avec vous, tout simplement parce que vous avez un équilibre. Ses parents semblent se tirer par les cheveux (de ce que j'en lis), et inévitablement, il le ressent. Il ressent aussi probablement la fatigue de maman, et malgré toute sa bonne volonté de vouloir tout bien pour son fils, elle projette l'exaspération qu'elle a envers le père de Petit-fils, vers Petit-fils. Les enfants sont des éponges, ils captent les émotions, ils captent tout.
Avec vous, c'est le bonheur, c'est la crème glacée, c'est les jeux, l'attention, la communication, une stabilité des règles, l'expérience...
Non, vous n'avez peut-être pas raison sur tout, selon vos dires, mais moi, je suis parfaitement d'accord avec votre frustration. L'idéal que vous vous faites d'une familles séparées n'est pas la même qui se passe actuellement. Vous avez vécu vous même avec votre premier enfant une famille séparée, et ce n'est sûrement pas la même chose qui s'est passé, de ce qui se passe actuellement avec Petit-fils.
Quand on est grands-parents, on veut le meilleur pour eux, et avec un certain recul, les grands-parents sont capable d'observer ce qui ne va pas, car justement, ils prennent ce recul que leurs enfants ne prennent pas.
Vous êtes une grand-maman exceptionnelle de ce que je peux lire dans vos propos... Une grand-maman qui s'implique, qui est excitée de prendre Petit-fils. Vous êtes une mère exceptionnelle d'appeler le père de Petit-fils pour vérifier si tout est correct, de prêter votre voiture, vous impliquer avec vos enfants...
Et avoir des enfants, vient avec les sacrifices. Vous sacrifiez votre voiture, vos sorties, votre horaire, et tout ça pour vos enfants. Mais vous établissez doucement des limites, et ce n'est pas nécessairement abandonner les sacrifices. C'est tout simplement avoir un équilibre. Et faire des sacrifices, ce n'est pas TOUT sacrifier. Il faut savoir et apprendre à prendre du temps pour soi, pour être justement capable de continuer à pouvoir faire des sacrifices...
Prendre des vacances, c'est aussi un équilibre. Prendre des vacances sans enfants, pour se reposer et prendre des forces, et aussi prendre des vacances familiales, pour décrocher du quotidien et défaire une routine trop bien établie pendant le reste de l'année...
Mais votre blogue, il vous appartient, chialez comme vous le faites, il est là pour ça, et vous en avez parfaitement le droit.
Bon, une courageuse eheh!
C'est pratique de savoir qui me lit et donc de pouvoir chiâler à mon goût, oui! ;o)
Plus je réfléchis à la question, plus je me dis que la solution n'est peut-être pas que je me garroche pour aller chercher Petit-fils en faisant fi de mes projets à moi. Il n'est pas en perdition (du moins j'espère!). Le père a voulu le retirer de la garderie, qu'il assume. Les chicanes entre ma fille et son ex-conjoint, je vais essayer de ne plus en entendre parler (je rêve, là...).
À chaque fois, je vais parler médiation.
Là, j'essaie de décrocher de tout ça. Mais en même temps, faut que j'appelle le père pour lui dire quand je viens chercher Petit-fils. Faudrait donc que je prenne une décision.
Une fois prise, tout va bien aller.
Merci de votre commentaire, Marie.
Et merci de votre commentaire, Solange! (heureusement que vous me connaissez depuis longtemps!)
Hum... Un petit dérapage à l'occasion, c'est normal quand on veux lâcher prise, mais au moins tu t'en rends compte. Faire le point et... revenir à toi. Après tout, tu avais petit-fils seulement la semaine prochaine. Tu sacrifies tes spectacles, pourquoi? Peur que le papa ne s'en occupe pas assez? Hum...
C'est ce que je pense...
Bizous xxx
Si j'ai peur qu'il ne s'en occupe pas assez? Oui, absolument. J'ai peur qu'il ne se lève pas le matin. Je me rappelle quand ma fille était enceinte au dernier degré et que Voisin lui avait livré un matelas neuf. Elle n'a jamais voulu que Voisin entre dans sa maison et elle a essayé de réveiller le futur père pour qu'il rentre le matelas. Peine perdue.
Elle a dit à Voisin de laisser le matelas à la porte, que le chum le rentrerait plus tard. Voisin est persuadé qu'elle l'a rentré toute seule le matelas, enceinte de neuf mois. Ce genre d'histoire m'a traumatisée.
Je viens de lire tout ça, commentaires y compris et je crois que tu devrais tenir tes plans. Si le petit n'est pas en danger, je les laisserai peut-être s'organiser un peu, pas facile à faire j'en conviens, mais comme tu le dis, il a choisi de le retirer de la garderie, c'est pas 4-5 jours qui vont le faire mourir.. peut-être l'a-t-il fait en sachant que peut-être grand-maman s'en occuperait? J'espère que non, mais tes désirs compte aussi là-dedans, mais je ne suis pas dans la situation alors c'est difficile de juger!
Je suis perplexe. Je ne suis pas certain de bien comprendre les motivations réelles qui se cachent derrière. Y aurait-il une question de pension alimentaire derrière tout cela? Le père ne travaille pas ou enfin, à très bas revenus. Est-ce que votre fille lui verse une partie de son salaire quand petit-fils est chez lui?
Selon ce que j'en ai compris, très souvent, lorsque votre fille est seule à seule avec son fils, elle cherche à venir vous le porter.
Si elle veut la garde de petit-fils les jours d'école, mais que ce soit le père qui le prenne les fins de semaines et journées pédagogiques, ce sera toutes les journées où elle aurait pu être seule avec son fils qui disparaissent...
Votre fille était bien jeune quand elle a eu son fils et on dirait qu'elle cherche aujourd'hui à rattraper une partie de sa vie de jeune adulte qu'elle n'a pas pu beaucoup explorer.
Petit-Fils n'est pas maltraité et je pense que ses deux parents l'aiment à leur façon et puis, vous êtes là également. L'essentiel est présent dans sa vie. Pour le reste, il s'adaptera à cet environnement et cela contribuera à forger sa personnalité. On ne peut faire semblant d'être ce qu'on n'est pas et de toutes façons, les enfants ne sont jamais dupes.
Mélissa, j'ai fait un compromis dans lequel je me sens bien. Je verrai encore des spectacles deux soirs, soit mercredi et jeudi et vendredi matin, je vais chercher Petit-fils pour une semaine. C'est parfait comme ça. La fille de mon amie va utiliser mon passeport. Tout le monde est content comme ça et moi aussi! Ça va nous donner l'occasion d'y aller ensemble au festival Juste pour rire, Petit-fils et moi. Il y a plein d'activités pour les enfants.
Je ne me sens plus fâchée contre personne et j'ai juste hâte de le voir et de passer une semaine de vacances et de sorties avec lui.
Tout est bien qui finit bien! ;o)
Je ne pense pas qu'il soit question de pension alimentaire, Pierre. Les deux parents sont pauvres, ma fille travaille peu d'heures actuellement. Le père est sans revenu mais il habite chez sa mère.
Je pense que c'est tout à fait sincère qu'elle veuille que son fils réussisse à l'école, ait une belle boîte à lunch avec les quatre groupes alimentaires, soit à l'heure et "qu'il n'ait pas l'air de l'enfant de jeunes parents tout croches" (je la cite)
Elle s'inquiète que le père fasse comme pour la garderie,soit qu'il l'emmène à l'école quand ça lui chante et à l'heure qui lui plaît.
Comme là, elle était très fâchée qu'il le retire de la garderie sans tambour ni trompettes, en les avertissant la dernière journée. Normalement il aurait dû y aller une autre semaine qui était déjà payée (c'est elle qui paie la garderie) et elle avait prévu d'aller acheter avec moi un cadeau pour l'éducatrice et la directrice. Notre petit est là depuis plus de deux ans et il aimait tout le monde et était beaucoup aimé. Pas de classe de quitter comme ça. Je lui ai dit qu'on irait porter les cadeaux la semaine prochaine. Non, "j'ai trop honte, dit-elle, je ne remettrai plus jamais les pieds là" (dit en pleurant).
Les fins de semaine, il n'y en a pas d'horaire et c'est parfait pour le père qui n'en a pas non plus. Il a encore de la misère à avoir une heure de coucher pour son fils et le laisse s'endormir devant la télévision.
Ma fille n'est pas du tout comme ça et elle a une routine du dodo régulière et qui marche très bien.
Ceci dit, je ne me mêle pas de leurs chicanes qui ne me regardent pas ce que je sais c'est ce qu'elle me dit. La version du père, je ne l'ai pas.
Je ne me souviens plus de l'âge du père de Petit-Fils ?
Il faudrait peut-être qu'il se secoue un peu, qu'il se responsabilise. Et la belle-maman, elle en parle de son fils qui ne se bouge pas ?
Le père a 23 ans. Je n'ai pas de contacts avec "l'autre famille" et ne sais donc pas ce qui se passe avec l'autre grand-maman. Avant, les deux parents de Petit-fils, même séparés, ne s'entendaient pas si mal mais la situation s'est dégradée.
Le fait que leur enfant commence l'école joue là-dedans. Avant, à la garderie, ça dérangeait moins ma fille le manque d'horaire et les oublis de casquette ou de crème solaire. On pouvait faire avec.
Mais là, elle tient beaucoup à ce que son fils ne soit pas catalogué, à ce qu'il ait tout ce qu'il lui faut, y compris une bonne nuit de sommeil. Elle me dit qu'elle aurait dû étudier davantage, qu'elle regrette de n'avoir pas mis d'efforts dans ses études, que son fils, lui, ne fera pas les mêmes erreurs. Lui, il va y aller à l'université. Elle va tout faire pour en tout cas.
Il faut dire que le père a eu au printemps une opération qui a mal tourné. Il en est resté souffrant et affaibli et c'est certain qu'il faut avoir de la compassion pour ça. Il va finir par guérir complètement mais ça pourrait être long. Ceci dit, il ne travaillait pas avant son opération non plus.
Et bien moi je ne suis pas d'accord. Des parents qui n'expriment pas leur amour, qui ne le démontre pas ça va paraître plus tard. Malgré toute votre bonne volonté et le fait que vous aimiez petit fils, cela ne suffit pas parfois.
Il peut avoir l'air heureux et épanouis maintenant, mais quand il grandira et comprendra mieux et qu'il voudra voir la fierté, l'amour etc dans les yeux de ses parents et qu'il ne l'obtiendra pas nécessairement, ça sera dur ! Surtout s'il a l'impression d'être toujours de trop ou pas à la hauteur !
Mais peut-être que je me trompe. Il semble un enfant exceptionnel. Et c'est un petit gars, peut-être pourra-t-il aller au delà de ça !
Pas si simple Éphémère. Ses parents sont très fiers de lui et ma fille écrit des textes louangeurs très émotifs sur Facebook à propos de l'amour de sa vie: son fils. Elle en écrit aussi sur moi, c'est tout dire. Que je suis la meilleure mère au monde etc. Je n'ai pas Facebook mais des fois je lis ça quand Dix-neuf ans me donne accès au sien.
Ma fille est très expressive, c'est une extrovertie qui rit fort, parle fort, pleure fort. Elle ne fait pas les choses à moitié et le petit sait dire "Je t'aime" dans plusieurs langues.
Le père est plus sobre mais pas moins attaché.
Avec la garderie, ça allait bien, ça structurait la vie de l'enfant et des parents en même temps.
Dans un mois, il y aura l'école qui devrait avoir le même effet.
J'ai bon espoir pour cet enfant et pour ses parents aussi. Pour ma fille en tout cas...
Tant mieux si ça va bien je sais qu'en tant que parent on s'inquiète facilement.
Je verrai ça si ça va bien vendredi quand j'irai le chercher pour une semaine, Solange. J'ai bien hâte. Je nous ai concocté plein d'activités. Probablement trop, je suis excessive. Je m'ajusterai à mesure! ;o)
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