mercredi 9 juillet 2014
Vin
Faisait tellement longtemps que j'en avais pas bu. C'est si bon. Alors ce soir je bois. Jusqu'à la dernière goutte. J'ai brisé un verre plein. Éclaté M'a dégrisé un peu de tout nettoyer. Petit-fils est là. Sa mère vient de partir, On a mangé ensemble. Des plats complètement différents. Elle cuisinait sur un côté de la cuisinière er moi sur l'autre. Elle est partie. Vingt ans est là et son neveu la colle devant la télé. C'est dur pour lui ce camp d'anglais. Il ne comprend rien. Frustration. On lui en demande beaucoup. Il a cinq ans. Pour son bien, pour son bien. Notre rôle, c'est le catinage, le maternage, le support émotionnel. J'aurais pas bu du tout si Vingt ans n'avait pas été là. Je suis une grand-mère responsable quand même!
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16 commentaires:
Ah, du vin... Maudit que j'ai hâte! :p (Paraît qu'il y a des femmes enceintes qui ne supportent même pas l'odeur du vin... Moi j'en sens le bouquet d'un bord à l'autre d'une table et ça me fait saliver!)
Ah, un petit excès une fois de temps en temps, ça donne l'impression de délinquance et de liberté et ça, c'est jouissif et enivrant! ;)
C'est pas parce qu'on est grand-mère qu'on a plus le droit de profiter des bonnes choses de la vie.
Vous partez pour Boston aujourd'hui non ?
Bon voyage !
Et les excès sont bonheur quand c'est occasionnel ! :)
Une coupe de vin, j'en rêve!
Tourlou
je suis de retour je ne pouvais plus venir faire un tour par ici....j'avais perdu mon mot de passe ...soupir....j'aime tellement vous suivre :) xx
Gen et Maman raconte,
Chères femmes enceintes, vous allez tellement apprécier le premier verre de vin entre deux tétées! Rien ne vaut l'abstinence pour amplifier un plaisir qui semble anodin quand il est toujours accessible.
Un autre prof,
Tout est dans el "de temps en temps" en effet. Je bois très rarement à cause de mon comptage de calories principalement, alors quand je le fais, c'est encore plus apprécié.
Solange, je dirais même qu'on profite encore plus intensément des bonnes choses de la vie parce que le temps commence à être compté. Je reviens de Boston et avant, je me serais dit, bon, j'aime ce coin, je reviendrai et là, maintenant, je me dis que non, je ne reviendrai pas, j'ai le monde à visiter et plus le temps de revoir ce qui a déjà été vu, alors faut apprécier tout de suite maintenant et tout voir comme si c'était la première mais également la dernière fois. Du coup, l'expérience est décuplée! ;o)
Éphémère, j'ai le bonheur facile ces temps-ci et ce n'est pas occasionnel! J'en reviens de Boston,merci de suivre ma vie de si près. Tu es gentille et j'aimerais avoir de tes nouvelles. Tes chats, ton travail, ta collègue qu'on met à la porte (c'est fait?), ton chum (bon, j'aurais dû le mettre en premier eheh!)tes écrits, ton moral.
Cryzal,
C'est vrai, tu n'étais plus là? Tes commentaires me manquaient.
Je vous avais écrit en mai, mais peut-être n'avais-je pas la bonne adresse courriel ? Je crois que vous ne l'avez jamais reçu :)
@Éphémère,
J'aimais ça lire ton blogue et je m'en ennuie!
Puis, Boston? Un billet là-dessus?
Ça s'en vient. Là je savoure un délicieux latte dans un café déniché dans mon passeport Indie Café. Un beau concept qui te plairait , un autre Prof!5
Vous êtes bien la seule, je crois bien ! Mais vous aller me donner le goût d'en recommencer un... !
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