Des fois, je bois et ça me fouette et ça entraîne une action, un changement, un désir de se grouiller qui est plus qu'un désir qui est presque le grouillement fait femme. Bref, je bouge et des fois ça presse de bouger. Cette vie-là, elle m'appartient. Totalement et c'est à moi de faire quelque chose avec.
Et là on ne parle pas de grosse saoulerie sale, non, pas du tout, deux verres de vin et tout s'éclaire. Probable que c'est parce que je bois rarement, probable que c'est parce que j'étais dûe, mais là, on va arrêter de niaisoter, de procrastiner, de jaser platement, tellement platement qu'un petiot de cinq ans me trouve plate, on va cesser tout ça parce que le bonheur passe par l'action et que je ne vais certainement pas passer ma vie à regarder ma vie passer.
Non, monsieur (toujours Pierre le monsieur et Ysengrimus peut-être aussi) et madame, on va bouger et déménager parce que c'est de ça dont on parle. Deux chambres à coucher, un petit condo neuf bien éclairé au centre-ville, j'aime ça le centre-ville, go, go, fille, cherche et tu vas trouver.
3 commentaires:
Comme tu dis, tu es si libre. Plus d'enfants (enfin presque), tu peux faire tout ce dont tu as envie. Alors FONCE.
Enfin presque, enfin presque oui. Bon, ça dépend de moi ça aussi! ;o)
Je suis dans le concret. Je fais des visites. Et du coup, mon condo à moi se revalorise à mes yeux. Ce que je visite est tellement moins intéressant et tellement plus cher. Ben beau le neuf mais je ne veux pas moins que ce que j'ai déjà.
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