Le livre de Guy Bourgeois. Lu une page à la librairie. Celle où il parle du plaisir de dire non par rapport au plaisir de manger. La satisfaction de manger peu, manger bien, dire poliment non quand on nous offre une autre assiette, le plaisir de se sentir mince et en contrôle et bien dans sa peau, qui vaut mille fois le plaisir gustatif de quelques ou plusieurs bouchées de trop.
Je n'ai pas besoin du livre. Je sais déjà tout ça et je vais le prouver en perdant ce qui me reste à perdre. Quand on perd trente livres et plus, on devient une nouvelle personne, il dit ça aussi dans une autre page. J'aurai perdu trente livres avant l'été. Je visualise. Là, j'en suis à quinze de perdues depuis le 10 décembre 2012. La moitié du chemin de fait. La dernière partie sera la plus difficile selon mon entraîneur qui s'y connaît. Le corps résiste. Il faut l'amadouer, le corps est mon ami, il verra comme nous serons mieux et plus en forme avec moins de poids à porter.
Alors la base de la perte de poids, c'est la motivation et la mienne est forte. Ce qui pourrait me démotiver? L'absence de résultats. Il m'en faut des résultats. Bon, une livre par semaine, c'est un résultat que j'accepte mais à moins de ça, non. Si c'est le cas, je vais réévaluer rapidement pour obtenir des résultats qui vont maintenir ma motivation.
4 commentaires:
T'as tellement raison, quand on voit des résultats ça nous emballe et on continue dans notre routine. Mais rendue à la fin il faut accepter de perdre un peu moins ... (J'essai de me convaincre moi aussi), faut pas abandonner ... On est meilleure que cela !
Ce soir je planifie faire une mise a jour sur mon blogue :).
Bon samedi !
Je pense qu'il faut que le poids d'arrivée soit réaliste. Si je voulais atteindre 120 livres pour 5 pi.7 po, ce ne serait pas absolument impossible. Dans mon poids santé, 120 livres. En fait, jusqu'à 118 livres, je suis toujours dans un imc favorisant la santé. Donc, avec immensément de privations et immensément d'exercices et immensément de temps également, je pourrais théoriquement atteindre ce poids. Mais ce ne serait pas réaliste dans mon cas et impossible à maintenir.
Donc, en me mettant 150 livres comme objectif, soit seulement 8 livres de moins que le haut de mon IMC, je me trouve bien réaliste. Non seulement je peux atteindre ce poids mais je pourrai également le maintenir sans sacrifices excessifs.
Perdre 15 livres avant l'été, c'est également tout à fait possible. Et je suis prête à reviser et reviser encore et m'ajuster constamment pour avoir des résultats.
Mon premier objectif: l'atteindre le fameux poids santé. Seulement sept livres à perdre pour y arriver!
"Je n'ai pas besoin du livre. Je sais déjà tout ça et je vais le prouver en perdant ce qui me reste à perdre."
Ceci m'intrigue. Diriez-vous que ces plumitifs motivateurs qui font des bouquins sur "comment maigrir" formulent surtout du plat et du rebattu pour quelqu'un qui lutte sur cette question dans le concret, comme vous? Des ouvrages vraiment originaux sur cette question, cela se déniche encore?
En fait, cet ouvrage l'est, original, car au lieu de dire aux gens quoi faire, quoi manger et en quelle quantité, il s'attaque à leur motivation et c'est bien là que réside en général la clé de la perte de poids.
La plupart des grosses personnes, pas toutes évidemment, mais celles qui ont fait plusieurs essais de pertes de poids, vu des spécialistes, adhéré à des groupes de rencontres, lu et relu plein de ces livres-miracle, pourraient prendre en main un autre obèse et diriger sa perte de poids avec efficacité. C'est se prendre en main soi-même qui est si difficile. Sinon, on serait tous minces.
Je me sens pas mal hardie d'écrire qeu je n'ai pas besoin du livre. C'est comme si j'étais déjà rendue au but dans ma tête. Mais dans la réalité, ce ne sera pas si facile. La vie est difficile, ainsi commençait "Le chemin le moins fréquenté" que vous avez probablement lu vous aussi.
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