jeudi 13 décembre 2007
Continuer
Il y a quelques jours à peine, je me sentais extatique et pleine d'énergie. Un événement avec une de mes filles a brisé cet élan. Je tente depuis de le retrouver. Ça ne marche pas. Il faut donc envisager les choses d'une autre manière. Accepter que je sois perturbée au lieu de combattre. Aller au yoga ce soir, malgré que je n'en ai aucune envie. Préparer Noël. M'occuper de Treize ans. De Dix-sept ans aussi, même si elle n'est pas souvent là. Continuer.
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
10 commentaires:
Continuer... et vivre son moment présent. Ici et maintenant. C'est pour moi la seule manière de vivre un 24 heures sans heurs. Peut-être ce conseil si futile peut vous être utile. Vous avez un très joli sourire.
Votre conseil tout comme votre personne n'ont rien de futile, Juliette. Merci d'être là.
Accepter que peu à peu l'énergie va revenir, vivre le moment présent, ne jamais oublier que le soleil brille toujours, juste que parfois il est caché par les nuages...
courage, que le vaya bien...
Je vais déjà bien mieux en effet, en direct des Îles. Je viens de parler à ma fille qui m'a dit que je la dérangeais et de les laisser tranquilles son chum et elle! Ça m'a fait un bien fou de me faire engueuler comme ça. De victime, elle redevient la battante pas facile du tout qu'elle a toujours été. Et les choses sont claires. Je ne peux rien changer à sa vie. Du coup, je me consacre à la mienne! ;o)
Aurais-je subit la censure?
Désolé si vous avez trouvé mon commentaire mal à propos.
Il était bien intentionné, mais sans doute maladroit.
La censure? Bien sûr que non! Où ça?
Ben, je vous avais écrit un commentaire sur ce billet. J'étais même le premier à commenter.
Philosophie d'Éraclite et tout ça?
Il serait disparu tou seul ? Je suis pourtant certain d'avoir cliqué le bouton "publier", quoique...
Bref mes pensées était avec vous.
Merci! Je n'ai jamais reçu ce commentaire, cher ami. Mais je vais très bien aujourd'hui et je vois les choses moins émotivement. Cependant, j'avoue que c'est souvent bien plus compliqué que ce que les annonces laissent croire à la télé certaines histoires de violence conjugale. Il n'y a pas toujours aussi clairement un(e) agresseur(e) et un(e) agressé(e) et fort souvent ces gens qui semblent tant se détester s'aiment ou en tout cas disent haut et fort s'aimer. Complexe, vous dites....?
Oui, je comprends mais il y a amour et amour... pas facile à distinguer.
Et puisque vous allez mieux et que je ne peux vivre sans vous, vous pouvez venir me dire que vous m'aimez ici. Mais soyez indulgente sur la nouvelle formule...
se donner le droit d'être vulnérable et d'avoir du chagrin, de ne pas tout contrôler...
C'est tout un apprentissage, difficile.
Mais j'ai confiance Femme Libre que vous saurez apprendre de cette situation. Elle n'arrive pas pour rien. Contente aussi de lire que vous allez mieux.
Publier un commentaire