dimanche 27 juillet 2008

Corto

Il a raison. Je me complais étrangement dans l'apitoiement. Il y a là un certain plaisir macabre et malsain qui ressemble un peu à se gratter le bobo pour faire tomber la gale.

6 commentaires:

Anonyme a dit...

J'ai du expérimenter ça sur 36 billets et quelques mois. Je comprends. Ça va passer.

Une femme libre a dit...

Oui, ça va passer et vite à part ça. Je vais prendre des décisions décisives (ça se dit ça?) héhé! Je ne perds rien pour attendre (je perds un peu tout de même! Plus j'attends et plus je perds, alors activons-nous.) Le pire, c'est que je suis d'une simplicité simplissime, je baiserais et mon moral remonterait en flèche.

En attendant, allons conduire ma chère Quatorze ans à son camp de vacances. Bonne journée à tous et toutes!

unautreprof a dit...

Il y a de ces périodes.
On se contemple et en un sens, il y a une quelque chose de familier et de rassurant avec ce genre de tristesse non?
IL faut surtout savoir quand rejaillir.

unautreprof a dit...

et des fois, il faut se laisser couler doucement
(Dur à faire quand on aime contrôler sa vie non? ) au lieu de se débattre pour remonter. Une fois qu'on touche le fond, il ne reste plus qu'à remonter. Donner un petit coup et hop...

Une femme libre a dit...

Ma chère Un autre prof, je ne suis pas triste, je suis enragée, ça doit être la ménopause, bien commeode la ménopause pour y domper tout ce qui ne va pas. Merci de votre gentillesse! ;o)

Une femme libre a dit...

commode