mardi 3 mai 2011

Plaintes

Je reviens me plaindre de mon sujet favori (à part le résultat des élections!) car ça me fait du bien de m'exprimer là-dessus et puis, je n'ai personne d'autre que mon blogue pour chiâler. Je ne vais quand même pas déblatérer contre mes enfants avec mes amis, qui les adorent et les trouvent parfait et parfaites. Ni avec leur grand-mère qui a 85 ans et le droit de ne plus subir les soucis familiaux.  Ne pas démolir cette belle image, cet aura d'équilibre et de bonheur intégral, surtout. Mais vous, lecteurs, vous le savez que ce n'est pas si facile et que je suis fâchée contre Vingt ans, tout en l'aimant, tout en l'aimant! L'un n'exclut pas l'autre. D'ailleurs, si vous attaquez Vingt ans, il est probable que je la défendrai bec et ongles. Aussi illogique que ça, une mère!

Alors, suite de la saga. Voilà-t-y pas que dimanche était le premier du mois. Que se passe-t-il le premier du mois. On paie son loyer? Bingo, en plein ça! Je reçois donc un appel de Vingt ans, dont je venais de payer la garderie la même semaine, vous me suivez. Elle n'avait pas d'argent pour la payer la garderie et n'avait donc pas d'argent non plus pour payer son loyer. Héhé! Et sa coloc non plus!!! Mais c'est qu'on s'amuse comme des fous. J'ai bien rigolé en tout cas.

Et plus encore hier, alors qu'elle me téléphone catastrophée. Non, tu n'auras plus un sou, que je lui dis d'emblée. Mais non, c'est pas ça du tout. C'est que l'autre grand-mère de Petit-fils se fait opérer cette semaine et elle a eu l'idée d'appeler ma fille pour voir si elle n'assumerait pas un peu son enfant, le temps que la pauvre femme se remette. Évidemment, vous le savez maintenant, ma fille n'a pas le temps pour ce genre de choses et alors...

Bon, j'ai même pas envie de continuer. Je sais que vous allez rire de moi.

47 commentaires:

Juste moi a dit...

Z'avez pas l'impression, des fois, d'être le dindon de la farce ? Moi, en tout cas, pas envie de rire. Ni de vous, ni de la situation ... Ça me semble être une spirale sans fin et surtout sans amélioration. Meilleurs souhaits de sérénité ... c'est le mieux que je puisse offrir je crois.

Anonyme a dit...

Loin de moi de vous faire de la peine, mais je pense comme (Juste moi) et je me demande ou vous vous sentez une femme libre au juste ? En quoi êtes-vous libre dans la vie ?

Remarquez que je pourrais me faire complaisante pour vous plaire. Vous semblez une femme directe, je réponds direct.

Je vous souhaite le mieux malgré tout et bonne chance.

Dominique.

Unknown a dit...

il semble que vois traversiez un moment difficile, courage

Une femme libre a dit...

@Juste moi
Dindonne, oui.

@Dominique
Libre, mais bien sûr que je suis libre et même de me faire exploiter si c'est mon choix.

@Lilasvb
Un moment, absolument. Un moment, ce n'est pas toute une vie.

herbert a dit...

Bonsoir, Femme libre.
Eh! bien , justement...
Je ne ris pas du tout de ceci et de cela.
De ce billet et du résultat des élections...
Mai toi, maintenant, je te vois sourire...
Je t'embrasse.

Une femme libre a dit...

Mais bien sûr que je souris, vous me devinez très bien, cher Herbert!

Anonyme a dit...

Très juste pour votre liberté. Je n'avais pas réfléchi à cette aspect.

Je dois avouer que vous avez raison. Je relisais de vos vieux messages. C'est très triste et pénible ce que vous vivez. Très, très, très, éprouvant. Je ne sais pas pourquoi vous devez subir un châtiment de la sorte et une vie si misérable face à vos enfants. Ça doit être tellement, mais tellement difficile. Savoir la réponse, je vous aiderais.

Je vous envoie des ondes positives et solidaires.

Dominique !!

Une femme libre a dit...

Vous savez quoi, Dominique? J'en ai moi-même fait voir de toutes les couleurs à ma propre mère dans ma jeunesse. Je pense que si elle savait tout ce qui se passe avec mes quatre enfants (elle en sait quand même un peu, le plus gros, ce qui dépasse!), elle rirait pas mal dans sa barbe.

Anonyme a dit...

Les pommes ne tombent jamais loin de l'arbre.

À bientôt.

Dominique.

Anonyme a dit...

Oh non! Pas vraiment le coeur à rire aujourd'hui. Ni aux conseils, d'ailleurs, qui suis-je pour juger, et que ferais-je avec mes petits, moi, dans une situation similaire?
xxx
M

Anonyme a dit...

Et ben... :-) Je le dis depuis un bout Femme Libre... :-) Vingt ans est trop gâtée et vous êtes en train de le déresponsabiliser en étant trop complaisante face à son laxisme... ;-) Après, il ne faut pas s'en plaindre... ;-) lol

Valéry xxxxxxx

Abige Muscas a dit...

Oh, vous n'avez pas l'air si misérable que ça, malgré tout! Vous savez profiter de ce qui vient, et vous êtes... une femme libre. Vingt ans peut bien vous faire tourner en bourrique, vous avez l'air de taille à y survivre!

La Mère Michèle a dit...

Je n'ai pas lu les réponses mais je réponds avec mon coeur: ne le faites pas pour 20 ans, faites le pour le jeune bébé qui, advenant votre refus, pourrait se retrouver balotté on ne sait-z-ou! Je suppute que cela ne doit pas être facile, mais quand l'épreuve est là, devant votre nez, difficile de la fuir en se désengageant, surtout quand on est, comme vous, impliquée affectivement jusqu'au cou! xx

La Mère Michèle a dit...

Et puis je l'avoue fort égoïstement, ça me rassure, mouâ, de le savoir en si bonne compagnie, ce petit bébé :O)

Michèle a dit...

Tout le long de notre maternité on se fait exploiter.

On se lève la nuit pour une tétée réconfort, on va reconduire petite car le bus passe très tôt et qu'on veut lui laisser une demie heure de plus de sommeil.

On achète parfois des vêtements à nos ados qu'on ne se serait jamais offert.

On habille finissante avec une robe qui coûte plus cher que notre robe de mariée.

Des milliers de kilomètre en taxi.

Des nuits écourtées, des études rallongées, du gardiennage dépannage, un héritage avancé avant notre mort.

Des enfants ? C'est un paquet de troubles.

Et si c'était à refaire ?

Je ferais de même, ma mère aussi. Vous aussi.

Un jour... pas toujours à 20 ans, des fois, c'est 22 ans, des fois 25... Ils volent de leurs propres ailes, ont moins besoin de nous. :)

Une femme libre a dit...

Morgane, pas si dramatique quand même. Fallait pas s'attendre à ce que l'argent lui tombe du ciel vu qu'elle m'avait bien dit mercredi passé qu'il ne lui restait pas un sou. Pour ce qui est du petit, ben... j'ai envie de le voir et j'avais de toutes façons projeté de lui demander de le garder une journée par semaine, là, ça sera deux. Tout va bien aller.

Bof! Si je veux encore me plaindre en long et en large, je le ferai bien, chère Valéry et dans votre immense générosité, vous allez certainement encore m'écouter et me dire que je cours après, héhé!

Abige, votre commentaire me fait bien rire. Bien sûr que je peux en prendre et que je ne suis pas misérable. Plutôt de bonne humeur, même! ;o)

Une femme libre a dit...

Je vais le chercher demain à la garderie, le petit chou, La Mère Michèle, et vous savez quoi? Il est bien avec moi mais je suis certaine qu'il va réclamer son papa au coucher.

Michèle, oui, c'est pas mal ça. Et il y a une tendance lourde à ce que les enfants dépendent plus longtemps des parents, si je regarde dans mon entourage. Plein de Tanguy et d'enfants adultes qui retournent chez maman-papa quand ils divorcent aussi. Il faut mettre nos propres limites. Faut croire que les miennes ne sont pas atteintes. Mais ça s'en vient. Tranquillement.

Éléonore a dit...

J'ai pas envie de rire de vous, en fait ce soir ma propre tuile vient de me tomber sur la tête, une tuile que dis-je un toit au complet, alors pas envie de rire de personne, juste de compatir, d'être empathique et moi-même comprise.

Je ne connais pas la réponse à vos maux et à ceux de 20 ans. Si je pouvais je vous ferais un gros calin comme j'aimerai en avoir un ce soir.

Bonne journée avec votre petit-fils et une pensée pour votre ainée xxx

Bonne nuit
Éléonore

Une femme libre a dit...

Ouf! Tout un toit qui vous tombe sur la tête, c'est lourd! Il n'y aurait pas quelqu'un d'autre pour le soutenir avec vous? Allez, je vous embrasse Éléonore. Demain sera un autre jour.

Michèle a dit...

Pour moi, c'est un mystère, le phénomène Tanguy. Un genre de légende urbaine.

Je n'en connais aucun. Je ne connais pas un adulte qui est retourné chez ses parents.

Au pire, des étudiants qui ont besoin d'aide pendant leurs études, jusqu'à 22-23 ans, mais qui ne sont quand même pas 100% dépendants.

Une femme libre a dit...

Ça existe pour vrai, je vous assure. En fait, ça existe si on veut bien que ça existe. Si on n'ouvre pas la porte, l'enfant adulte n'entrera pas. Le père de petit-fils est bel et bien retourné chez sa mère avec son enfant de 23 mois, à temps plein et il a 22 ans. Il n'a aucun revenu. L'année passée, mon cousin de .... 45 ans s'est séparé et il n'a rien trouvé de mieux à faire que de retourner chez ses parents!!!! qui l'ont repris. Heureusement pour ma tante et mon oncle, ça s'est arrangé avec sa femme et il est retourné avec elle. Et il y a mon couple d'amis avec lesquels j'ai voyagé qui voudraient bien se "départir" de leur fils unique de 26 ans qui est toujours chez eux et ramène des demoiselles différentes à tous les soirs ou presque, un peu comme dans le film Tanguy, tiens.

Éléonore a dit...

et que fait-on Femme Libre quand dans un couple il y en a un qui donnerait tout pour sa feufille chérie (ce qu'il n'a pas fait pour son fils) et l'autre qui prone l'aide, mais aussi la débrouillardise, et pourquoi pas quelques dettes d'études raisonnables ?

Une femme libre a dit...

On se dit qu'on ne va pas mettre son couple en péril pour des niaiseries et on laisse le paternel payer sans ronchonner. (Je vous arrange ça moi, les affaires de couple, héhé!) et on en profite pour préparer son super voyage à Compostelle.

Une femme libre a dit...

Quand ya de l'argent pour un (ou une!), ya de l'argent pour tous!`

Proverbe par Une femme libre (libre de droits)

Madame Intello a dit...

Et vous? Qui s'occupe de vous? Votre mère?
;-)

Pourquoi persistez-vous à ne pas couper les cordons qui les rattachent au nid?

Que peut-il donc leur arriver de si malheureux? Est-ce une bonne chose de toujours leur permettre de retomber sur leurs pattes sans apprendre de leurs erreurs?

Il y a un moment dans la vie où le parent doit jeter les enfants hors du nid... pour mieux rattraper les petits-enfants afin leur donner un répit de leur quotidien.

Et puis, ce ne sont que des questions, nullement des jugements de valeur. Après tout, mes enfants sont encore petits et le fait d'être à leurs services me valorise un tantinet...

Une femme libre a dit...

Madame Intello

Ma mère s'occupe encore de moi en effet, je la vois tous les dimanches quand elle n'est pas en Floride! ;o)

Elle n'a pas encore commencé à travailler, Vingt ans. Elle a trouvé le job mais termine son cegep actuellement. Elle vivait sur le plan d'épargne-études mais il faut croire qu'elle a mal budgeté pour se retrouver sans le sou. Son travail va remédier à tout ça. La subvention pour la garderie va bien finir par entrer aussi. Là, c'est 35$ par jour sans subvention, c'est énorme. Les choses vont se placer.

Le petit-fils, bon, là, c'est une autre histoire.

Une femme libre a dit...

Et puis, je ne peux pas vraiment me soustraire au paiement de leur loyer car je l'ai endossé. Deux jeunes étudiantes sans le sou, personne ne voulait leur louer sans endosseur. Je suppose que ça aussi ça va s'arranger quand Vingt ans va avoir un salaire qui rentre.

Éléonore a dit...

ben justement, si on laisse papa tout payer, on va se retrouver qu'après avoir fièrement été indépendant et avoir payer ses études soi-même, on va tout sacrifier de nouveau pour feufille et il n'y en aura pas de voyage à Compostelle...

Cath a dit...

Ah, que je vous comprends Femme Libre, comment laisser sciemment nos enfants dans la difficulté ? Sous prétexte de leur rendre service ? Ca oui, c'est ce qu'on dit lorsqu'on n'est pas dans cette situation... Facile la théorie.

Je n'ai rien à vous proposer Femme libre, qu'un tout petit peu de soutien moral...

Et puis continuez à être aussi vivante et chaleureuse, un vrai bonheur que de vous lire.

Cath

Mijo a dit...

J'espère juste que vous avez payé la partie du loyer de 20 ans mais pas celle la colocataire ;-)

Joan Durand a dit...

Je n'ai pas de conseils mais votre article m'a fait beaucoup de bien parce qu'il m'a déculpabilisée! C'est facile de juger la situation des autres, moins facile de ne pas laisser nos propres ados abuser de nous et même de départir ce qui est un abus de ce qui n'en n'est pas. :-))))))

Une femme libre a dit...

Éléonore, pourquoi ne partiriez-vous pas tout de suite pour Compostelle, pendant qu'il y en a de l'argent? Pourquoi attendre? Et en fait, c'est quoi que vous attendez? Des photos, vous en prendrez de magnifiques là-bas. C'est trop long, vous allez vous ennuyer? C'est un voyage qu'on peut faire en partie seulement, un mois ou deux.

Une femme libre a dit...

Cath, si je voyais la aituation comme éternelle, ce serait différent et je réagirais autrement. Mais là, elle a vingt ans, elle n'aura pas vingt ans toute sa vie (malheureusement ou heureusement? c'est quand même magnifique d'avoir vingt ans!), elle aura un travail, elle l'a déjà et la vraie réalité de la vie va lui tomber dessus assez vite.

Une femme libre a dit...

Mijo, c'est le loyer au complet que j'ai endossé. La personne responsable des paiements, c'est moi. Évidemment, ma fille m'a dit et redit que ce n'était qu'une formalité et qu'elles s'en occuperaient et que je n'avais aucune inquiétude à avoir, j'ai dit oui, oui, mais j'ai plus d'expérience de la vie que ces jeunettes, alors je savais bien que je prenais un risque, un gros et je l'ai pris. Ma motivation première était de sortir petit-fils de son appartemennt de misère, sans baignoire et avec des moisissures et finalement, il en est sorti, vu qu'il habite maintenant avec l'autre grand-mêre. Oui, j'ai payé le loyer au complet.

Une femme libre a dit...

@Mari Carmen
Buenos dias! Me gusta leerla tambien!

@Joan Durand
La culpabilité ne vaut rien, à moins qu'on ait tué quelqu'un. Un abus devient un abus quand on se sent abusé(e). Faut croire que ce n'est pas encore vraiment arrivé dans mon cas, pas assez pour réagir en tout cas. Mais je sens que ça s'en vient...

Éléonore a dit...

Femme libre, hier je serais partit seule à pied au bout du monde tellement j'ai eu une écoeurite aigüe.

En fait, aller à Compostelle demande beaucoup de préparations physiques, il faut être apte à marcher 25 kilo par jour (et plus) avec un sac à dos de plusieurs kilos.

Il faut pas mal de matériel, un sac à dos adapté aux femmes, un sac de couchage ultra léger, des chaussures ou bottines de marche adapté, le guide des refuges pour pélerin, la crédential (espèce de passeport de pélerin), etc.

Je ne suis pas prête physiquement, ni mentalement, ni monétairement, il ne faut pas oublier que ma dernière caméra réflex, sac et lentilles compris m'a couté 1500 $

Je la paye encore, c'est pour cela que je ne peut mettre mes sous sur un voyage.

Une femme libre a dit...

Pour ce qui est de la préparation physique, faut pas charrier, il y a des personnes vraiment âgées qui font Compostelle. Ce n'est pas un marathon, on y va à notre rythme. En cas de fatigue aigüe, on peut toujours s'arrêter, il y a des villages ou des refuges tout le long.

La forme vient pendant la voyage, avec l'entraînement quotidien qui se fait tout naturellement.

Pour l'argent, là, évidemment, si donner à votre fille signifie qu'il n'en reste plus pour vous, je vous comprends totalement d'être en maudit. Je le serais aussi. Charité bien ordonnée commence par soi-même.

Une femme libre a dit...

Si on attend d'être totalement prête mentalement pour partir, on ne part jamais. La veille de mon départ en Chine, je pleurais à chaudes larmes et j'aurais payé ... pour ne pas y aller!

J'ai pourtant adoré mes deux voyages là-bas.

Prête, pas prête... on part! ;o)

Une femme libre a dit...

Savez-vous quoi? Je pense que vous êtes morte de peur, comme moi pour la Chine. Même si je ne voulais pas l'avouer, c'était ça. L'angoisse de partir, de laisser ma famille et dans mon cas, ce n'était que trois semaines à la fois. Une espèce de peur que le monde s'écroule, que mes enfants meurent ou ne puissent pas se passer de moi. Et puis on part et toutes les craintes totalement irraisonnées s'évanouissent. Plus j'écris et plus j'ai envie de repartir encore.

Une femme libre a dit...

Merci beaucoup Éléonore,il y a comme des choses qui s'éclairent pour moi en vous répondant. Tellement utile de tenir un blogue.

Éléonore a dit...

ha bien sûr qu'il y a des personnes agées qui font compostelle... en autobus, pas de sac à dos, avec un petit vignoble de temps en temps, quand il fait beau, etc, rien à voir avec "faire le camino"...
Pour les étapes oui certaines sont divisables, non d'autres le ne sont pas.
Et puis non je n'ai pas l,argent, sans doute est-ce difficile à croire pour vous mais c'est vrai, je n'ai pas l'argent pour le moment :) Il y a des gens à l'aise et d'autres moins, vous le savez comme moi ;)

Et oui je suis morte de trouille, pas de marcher, mais dans les transports, la maladie, la solitude, je ne le cache pas.

Et Oui je suis en colère, déçue, etc.

Chantalou a dit...

Pas facile comme situation encore une fois, tu es toujours prise dans des situations pas trop évidentes! Je compatis avec toi, Chantalou xx

Une femme libre a dit...

@Éléonore
Il y a des personnes de plus de soixante-dix ans qui le font le camino, à pied, ce n'est pas du tout une compétition. Pierre F. l'a fait deux fois avec sa mère.

Une amie fumeuse et pas du tout en forme l'a fait il y a deux ans. La forme et l'abandon de la cigarette lui sont venus en marchant. ^

Votre mari le sait-il qu'il vous empêche de voyager en payant tout pour votre fille?

Une femme libre a dit...

@Chantalou
Je sens cependant que ça avance. Je sais où je m'en vais, même si ça ne paraît pas. Je suis en train de me placer les pieds pour pouvoir voir mon petit-fils à travers le père et l'autre grand-mère et ne plus être à la merci des crises de nerfs de ma fille. Tranquillement pas vite. Son règne achève.

Pur bonheur a dit...

Bien dit, Femme libre!!! J'adore votre attitude!
Qu'on la remettre à sa place cette petite peste!

Une femme libre a dit...

Pfffft! Vous savez bien que je cours à sa rescousse quand on l'attaque! Attention à vous, Pur Bonheur!

Pur bonheur a dit...

C'est donc vous, qui devez recevoir une fessée.
Un jour, j'ai lu dans le journal de Montréal, dans la chronique de Solange Harvey, une dame se plaignait de se faire abuser par son mari.
Solange lui avait répondu: Madame, si votre mari vous abuse, c'est que vous êtes abusable...?