mercredi 16 mars 2011

Aujourd'hui

Paperasse pour l'impôt à mettre en ordre, ménage, bénévolat et ce soir, spectacle de danse japonaise en pensant aux habitants de ce magnifique pays qui souffrent. On est tout de même bien chanceux ici, dans notre froidure hivernale en train de devenir un printemps espéré, rêvé, désiré et toujours miraculeux. Peu de catastrophes naturelles (je touche du bois).

Exercice: monter la montagne? Cardio au gym?

Et finir "Les mots pour le dire". Il me reste quelques pages. Quand ça traîne comme ça, c'est que ça ne me passionne pas.

3 commentaires:

Anonyme a dit...

lu au cégep, voici des lunes... je n'avais pas particulièrement aimé non plus.

Une femme libre a dit...

Intime, très intime, trop intime. On dirait qu'il manque la distance nécessaire entre l'auteur et son oeuvre. Elle est là, toute crue, extrêmement vulnérable, dans son livre. On lit sa chair et ses larmes et sa merde et son sang. C'est trop.

Une femme libre a dit...

Et en même temps, on lui est vaguement reconnaissante de nous en donner autant et coupable de ne pas louer son authenticité. Bref, je voudrais bien aimer ça! En fait, c'est tellement elle qui est là dans les mots dans "Les mots pour le dire", justement, que si elle était toujours en vie, je n'oserais pas lui faire une mauvaise critique. Elle est tellement vulnérable que j'aurais l'impression de la détruire et on n'a pas du tout envie de la détruire, elle est une victime. C'est également ça qui me dérange, son rôle de victime. Misère, ma critique est faite ici, maintenant. C'était le lieu et le temps, faut croire. Merci Morgane!