samedi 21 janvier 2012

Deuxième conférence culturelle de l'année

Avec Madame Culture en personne, pas pédante pour deux sous, mais super connaissante, avec un humour fin, une voix hypnotique et douce et la faculté de rendre un sujet aride intéressant. Intéressant pour la première heure du moins, car après j'ai un peu décroché, elle nous a expliqué la composition de la fugue avec son écriture contrapuntique et là je ne comprenais plus rien. Il est certain qu'un musicien aurait bien davantage apprécié la conférence, c'est Nanou la Terre que j'aurais dû emmener. Alors, cette charmante conférencière est Gujke Smoje et les conférences gratuites ont lieu au Musée des Beaux-Arts. Très bien, vraiment! L'ambitieux sujet: La présence de la musique dans la peinture de Feininger.

9 commentaires:

Unknown a dit...

votre vie est tres culturelle, c'est agreable de visiter avec vous

Lud. a dit...

Sujet très aride, en effet.

Le factotum a dit...

Moi, je l'ai étudié durant sa période cubisme à Paris.
Je ne connaissais pas le lien musical relié à ses peintures.
Très intéressant en effet!

herbert a dit...

Bonjour, Femme libre.

La composition de la fugue...
C'est la base de l'harmonie.
Grâce à J.S. Bach.
Ce n'est en effet pas très simple...

Je t'embrasse.

Une femme libre a dit...

Culturelle et mondaine un peu, héhé, lilasvb. La réception indienne d'hier a été un franc succès. Tout tombait à pic, la nourriture délicieuse, vraiment je pense que j'ai attrappé le tour de main indien, épices, épices et temps, beaucoup de temps. C'est une cuisine qu'il faut accompagner tout le temps, on ne laisse rien mijoter, on fait frire les oignons et les épices qu'on a soi-même broyées pendant une demi-heure et ce n'est que la première partie d'un plat qui comporte souvent trois ou quatre étapes. Et j'avais préparé six plats plus les accompagnents! J'avais mal calculé mon temps et ce n'était pas terminé quand les invités ont commencé à arriver. Qu'à cela ne tienne, tout le monde s'est occupé un peu de tout et puis j'avais du gin indien pour les faire patienter. Ce qui fût le plus intéressant à part la fabuleuse cuisine (ben quoi, ils m'ont applaudie, je vous jure, ça valait vraiment la peine d'y avoir mis tant de temps et de lectures!)ça a été les contacts qui se sont créés entre les invités qui ne se connaissaient pas au préalable. Fantastique! Ils sont tous repartis bons amis et se faire de nouveaux amis à nos âges, ce n'est pas nécessairement si facile. Bref! Je suis fière et comblée devant ma vaisselle sale et je remplis une autre fois le lave-vaisselle avant d'aller monter la montagne en groupe les amis! Je mes suis trouvé quatre amatrices, yé!

Une femme libre a dit...

plus les accompagnements

Une femme libre a dit...

Lud, aride, oui, mais si bien présenté. Avec des extraits musicaux et la voix lumineuse de la dame et un écran géant et ...très bien vraiment. Je recommande. La salle était archi-pleine et ils ont refusé du monde. Les gens ont soif de culture, je le constate de plus en plus.

À Paris, le factotum? Décidément, j'en sais fort peu sur votre vie... ;o) Partez-vous donc un blogue. Vous êtes dû, héhé!

Herbert, rien de simple mais un tout si magnifique à écouter!

Anonyme a dit...

Dujka Smoje ? Je l'ai eu comme professeur à l'Université ! Excellente pédagogue !

Miss Suisse

Une femme libre a dit...

Hein, vraiment,Madame Suisse? Avoir étudié avec elle, je pense que j'aurais développé une passion pour la musique et la peinture bien plus tôt dans ma vie!

Bienvenue dans mon blogue!